Comment rencontre-t-on une plante ?
Apprendre les noms latins, comment les reconnaître à la forme des feuilles, des fleurs, est une approche intéressante et utile. Elle permet en outre d’échanger et de partager sur la base de connaissances communes auxquelles nous avons tous accès.
Il est possible également d’établir une connexion plus subtile avec le végétal. Un lien plus personnel, plus intime.
Il y a en nous une part sacrée, une part animale, une part cachée. Elle vibre parfois au diapason de la Terre, avec tout ce qui vit, de la chenille à la fleur, à l’arbre, au rocher. Cette part, si on l’écoute, nous fait entendre le chant des cellules, la danse des fées ou encore le monologue du papillon ou de l’écorce.
Je peux choisir d’être en reliance avec le végétal par ce biais. En m’asseyant simplement à côté d’une plante, en touchant doucement un tronc. Je cherche la connexion « d’âme à âme ». Comme une méditation, je ferme les yeux, j’écoute mon cœur battre et j’ouvre la porte de l’échange. Qu’est-ce que ce végétal a à me dire ?
S’ouvrir à la rencontre avec un autre règne, c’est lâcher le mental et écouter un chant profond venu du fond des âges.


































Pour ceux qui se chauffent au bois ou ont une cheminée, voici un moyen d’utiliser ces précieuses cendres !

Les cuscutes (Cuscuta sp.) sont des plantes « vampire ».
La lessive de lierre est une préparation très simple qui peut s’utiliser pour laver vos vêtements, mais aussi la vaisselle ou encore les cheveux. Attention, le lierre grimpant (Hedera helix L.) utilisé est une plante toxique : à ne pas ingérer !
Voici la fleur de la benoîte urbaine (Geum urbanum), de la famille des rosacées, qui pousse plutôt en sous-bois qu’en ville, malgré son nom.
C’est une plante dont les racines ont un parfum épicé.
Venez découvrir les richesses de la nature dans votre assiette, autour d’un repas sauvage.
Veuillez nous signaler toute allergie connue lors de votre réservation.
Les orties (Urtica sp.) sont souvent mal-aimées car elles piquent, mais pourtant quelle plante formidable ! au jardin en purin (ou extrait fermenté), dans la pharmacie en feuilles et racines séchées, comme aliment : feuilles et graines fraiches ou sèches, et ses fibres pour le tissage. Ses qualités nutritionnelles sont exceptionnelles, on aurait tort de s’en priver…
L
a gémmothérapie est une pratique thérapeutique qui consiste à utiliser les propriétés des bourgeons – d’arbres le plus souvent. On les fait macérer dans une solution d’alcool et de glycérine (ou de miel).



Le week-end du 14-15 septembre nous étions au gîte de la Colline verte à Ustou pour un stage de gastronomie sauvage et voici ce que nous avons cuisiné puis dégusté pendant ces deux jours :
Infusions solaires



Cuisiner les plantes sauvages comestibles
La journée commence par un repas végétarien complet, à base de plantes sauvages comestibles et de produits bio. Suit une petite marche à la découverte de quelques plantes sauvages emblématiques de notre flore facilement identifiables. Le tout dans un cadre de nature sauvage, avec vue sur la chaîne pyrénéenne.
Du 22 au 26 mai, c’est la Fête de la nature partout en France sur le thème : La nature en mouvement. L’association Le Champ des possibles vous propose de découvrir à cette occasion les richesses des plantes sauvages, comestibles et médicinales, lors d’une sortie gratuite dans le Parc naturel régional des Pyrénées Ariégeoises.



Dans le conte « Les Fées » de Charles Perrault, la fée jette un sort à la méchante sœur pour qu’à chaque parole, sa bouche crache des serpents et des crapauds.
L’été a été généreux et après les différentes récoltes, il faut penser aux préparations : tisanes, baumes, macérations dans le vinaigre, l’huile, le vin ou encore l’alcool.

